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La neuvaine du 8 décembre 2023

La neuvaine du 8 décembre 2023

Très chers paroissiens !

En ce jeudi 30 novembre, nous sommes à J-9 de la solennité de l’Immaculée Conception.

Pour nous préparer à cette grande fête catholique (et lyonnaise !), et plus spécialement aux 4 jours de mission à la paroisse, je vous propose de prier ensemble une neuvaine à la Vierge Immaculée.

 

Qu’est-ce qu’une neuvaine ?

La prière sous forme de neuvaine remonte à une tradition très ancienne. Il s’agit de prier Dieu pendant neuf jours consécutifs par l’intercession de la Sainte Vierge ou d’un(e) autre saint(e) afin de demander une grâce spécifique au Seigneur.

La neuvaine que je vous propose va nous faire entrer dans le mystère de la Très Sainte Vierge Marie, seule personne humaine à avoir bénéficié de Dieu de l’unique privilège d’être exempte du péché originel et de tout péché personnel.

 

Comment prier la neuvaine ?

C’est très simple et vous n’avez besoin que de 5 minutes par jour !

  1. Une dizaine de chapelet chaque jour, suivie de 3 fois l’invocation :« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
  2. La communion eucharistique le jour du 8 décembre ou un jour de l’octave.
  3. La récitation de la prière de saint Jean Paul II ci-dessous :

 

PRIÈRE

Ô Mère de miséricorde,
Nous confions à ton cœur et à ton amour le peuple entier et l’Église de cette terre.
Garde-nous de toute injustice, de toute division, de toute violence et de toute guerre.
Garde-nous de la tentation et de l’esclavage du péché et du mal. Sois avec nous !
Aide-nous à vaincre le doute par la foi, l’égoïsme par le service, l’orgueil par la mansuétude, la haine par l’amour.
Aide-nous à vivre l’Évangile et la folie de la Croix afin de pouvoir ressusciter avec ton Fils à la vraie vie, avec le Père, dans l’unité de l’Esprit Saint.
Ô Mère du Christ, sois notre réconfort et donne force à tous ceux qui souffrent : aux pauvres, à ceux qui sont seuls, aux malades, aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée et à tous, la lumière de l’espérance.

Amen.

 

En avant, avec Marie, vers la mission du 8 !

Père Charles

 

La fête du 8 décembre

La fête du 8 décembre

La fête du 8 décembre 2022

 

Pendant 4 soirées, prenons le temps d’accueillir dans l’église et de prier avec Marie.

Nous accueillerons des passants dans l’église et sur le parvis du jeudi 8 décembre au dimanche 11 décembre 2022.

Mobilisons-nous pour accueillir largement !

Retrouvons- nous tous le vendredi 25 novembre  pour prier ensemble et se former à la mission.

Édition 2021

Un peu d'histoire

1643

La peste se répand sur Lyon, et pour la 10ème fois en moins d’un siècle, fait des ravages emportant hommes et femmes, sans distinction d’âge ni de classe. Le 12 mars, les échevins, font alors le vœu de prier Marie à la chapelle de Fourvière et d’y déposer chaque année un écu d’or et sept livres de cire blanche. La peste quitte alors miraculeusement Lyon. Ce vœu sera renouvelé chaque année depuis lors par le conseil municipal.

1832

Le choléra est aux portes de Lyon. Les Lyonnais montent en procession à Fourvière et demande de nouveau à Notre Dame d’épargner la ville. Lyon ne sera pas touchée.

1852

On achevait à Lyon la reconstruction du clocher de la vieille chapelle de Fourvière. Au sommet de l’édifice, on avait placé une statue de la Vierge Marie en bronze doré. Elle devait être inaugurée le 8 septembre, mais une inondation dans l’atelier du fondeur retarda la cérémonie au 8 décembre, autre fête de la Vierge, celle de l’Immaculée Conception. Ce jour-là, des feux d’artifice étaient prévus mais une pluie torrentielle s’abattit sur la ville. A la tombée de la nuit, le ciel s’éclaircit et la pluie s’arrêta. Tout à coup apparaissent à quelques fenêtres inconnues des lignes de feu … La ville s’était embrasée en un instant. Bientôt, il ne restait plus, sur la vaste étendue des quais, des rues, des passages ignorés et des cours invisibles, aucune fenêtre obscure.  Les petits marchands, les clochers, illuminaient leurs baraques, leurs voitures et jusqu’aux bordures des trottoirs … Quelques feux de Bengale s’allumèrent sur les toits de la chapelle de Fourvière, la statue de la Vierge apparaît et la grosse cloche de Saint Jean, cet éloquent interprète des joies publiques, est lancée à toute volée. A huit heures, la population entière était dans la rue, circulant, paisible, joyeuse et attendrie. On se serrait la main sans se connaitre, on chantait des cantiques, on applaudissait, on criait : « Vive Marie !  »  Les étrangers n’en revenaient pas de leur surprise, et les Lyonnais, tout remplis qu’ils étaient de cette fête improvisée, se demandaient comment, en un instant, une population de trois cent mille âmes avait pu être saisie de la même pensée »

L’événement éphémère d’une nuit devint institution. On prépara avec soin les illuminations de 1853. Quant à celles de 1854, elles furent un triomphe, car elles coïncidaient avec la proclamation par le Pape, à Rome, du dogme de l’Immaculée Conception. Les Lyonnais avaient la fierté des précurseurs. Depuis, chaque année, le soir du 8 décembre, les Lyonnais illuminent leur ville pour la fête de l’Immaculée Conception.

1870

La guerre fait rage et les armées prussiennes menacent la ville. Une fois encore, les Lyonnais se tournent vers Marie. La ville sera épargnée.

Aujourd’hui,

les bougies continuent à brûler aux fenêtres des habitants de la ville de Lyon. On en parle sur le site officiel de la Fête de la Lumière de la ville.

Le 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception

La célébration de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie nous rappelle la destinée unique de cette femme juive, choisie par Dieu. Pour la foi chrétienne, Marie est indissociable de l’enfant qu’elle a porté, Jésus, en qui s’est totalement manifesté le Dieu vivant. Elle est appelée, depuis le concile d’Éphèse (431), « Mère de Dieu ». Selon la tradition catholique, depuis le dogme promulgué par le pape Pie IX, le 8 décembre 1854, elle est déclarée préservée du péché originel dès sa naissance.

Horaires des messes et des confessions

En savoir plus
Homélie de la Solennité du Christ Roi de l’univers – Père Charles Rochas – 26 novembre 2023

Homélie de la Solennité du Christ Roi de l’univers – Père Charles Rochas – 26 novembre 2023

« Il siégera sur son trône de gloire
et séparera les hommes les uns des autres. »

LECTURES DE LA MESSE

PREMIÈRE LECTURE

Lecture du livre du prophète Ézékiel

(Ez 34, 11-12.15-17)

Ainsi parle le Seigneur Dieu :
Voici que moi-même, je m’occuperai de mes brebis,
et je veillerai sur elles.
    Comme un berger veille sur les brebis de son troupeau
quand elles sont dispersées,
ainsi je veillerai sur mes brebis,
et j’irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées
un jour de nuages et de sombres nuées.
    C’est moi qui ferai paître mon troupeau,
et c’est moi qui le ferai reposer,
– oracle du Seigneur Dieu.
    La brebis perdue, je la chercherai ;
l’égarée, je la ramènerai.
Celle qui est blessée, je la panserai.
Celle qui est malade, je lui rendrai des forces.
Celle qui est grasse et vigoureuse,
je la garderai, je la ferai paître selon le droit.
    Et toi, mon troupeau
– ainsi parle le Seigneur Dieu –,
voici que je vais juger entre brebis et brebis,
entre les béliers et les boucs.

 

PSAUME

(Ps 22 (23), 1-2ab, 2c-3, 4, 5, 6)

R/ Le Seigneur est mon berger :
rien ne saurait me manquer.

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.

DEUXIÈME LECTURE

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens

(1 Co 15, 20-26.28)

Frères,
    le Christ est ressuscité d’entre les morts,
lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis.
    Car, la mort étant venue par un homme,
c’est par un homme aussi que vient la résurrection des morts.
    En effet, de même que tous les hommes
meurent en Adam,
de même c’est dans le Christ
que tous recevront la vie,
    mais chacun à son rang :
en premier, le Christ,
et ensuite, lors du retour du Christ,
ceux qui lui appartiennent.
    Alors, tout sera achevé,
quand le Christ remettra le pouvoir royal à Dieu son Père,
après avoir anéanti, parmi les êtres célestes,
toute Principauté, toute Souveraineté et Puissance.
    Car c’est lui qui doit régner
jusqu’au jour où Dieu aura mis sous ses pieds tous ses ennemis.
    Et le dernier ennemi qui sera anéanti,
c’est la mort.
    Et, quand tout sera mis sous le pouvoir du Fils,
lui-même se mettra alors sous le pouvoir du Père
qui lui aura tout soumis,
et ainsi, Dieu sera tout en tous.

   

ÉVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

(Mt 25, 31-46)

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
    « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
    Toutes les nations seront rassemblées devant lui ;
il séparera les hommes les uns des autres,
comme le berger sépare les brebis des boucs :
    il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.

    Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite :
‘Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume
préparé pour vous depuis la fondation du monde.
    Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ;
j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
    j’étais nu, et vous m’avez habillé ;
j’étais malade, et vous m’avez visité ;
j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’
    Alors les justes lui répondront :
‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu…?
tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ?
tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
    tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ?
tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
    tu étais malade ou en prison…
Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?’
    Et le Roi leur répondra :
‘Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.’  

    Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche :
‘Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits,
dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
    Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ;
j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
    j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ;
j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ;
j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.’
    Alors ils répondront, eux aussi :
‘Seigneur, quand t’avons-nous vu
avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison,
sans nous mettre à ton service ?’
    Il leur répondra :
‘Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait
à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.’

    Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel,
et les justes, à la vie éternelle. »

Retour sur … les catéchumènes à Ars

Retour sur … les catéchumènes à Ars

Le week-end du 18-19 novembre dernier, le groupe de catéchumènes et confirmands adultes a vécu une belle retraite à Ars chez les sœurs de la Providence.

 

Ils sont plus d’une trentaine cette année à se préparer à recevoir un sacrement de l’Initiation Chrétienne, entre le baptême, la confirmation et/ou la première Eucharistie.

Ces temps de retraite sont non seulement précieux pour approfondir leur lien avec le Christ, mais aussi pour s’ancrer dans la communauté paroissiale.

Le programme est rythmé par des temps de prière, de rencontres avec leur accompagnateur, la visite de la maison du Curé d’Ars, des temps de partage en petits ou en grand groupe, des temps d’enseignements : comprendre et se repérer dans la bible, la lectio divina, comment Jésus est annoncé dans l’Ancien Testament…

Le curé d’Ars est venu donner un enseignement sur la grâce du saint Curé d’Ars, et nous avons vécu la Messe avec la communauté paroissiale le dimanche matin.

Continuons à les porter dans nos prières durant leur cheminement.

Homélie de la Solennité du Christ Roi de l’univers – Père Charles Rochas – 26 novembre 2023

Homélie du 33ème dimanche du temps ordinaire – Père Charles Rochas – 19 novembre 2023

« Tu as été fidèle pour peu de choses,
je t’en confierai beaucoup. » (Mt 25, 14-30) »

LECTURES DE LA MESSE

PREMIÈRE LECTURE

Lecture du livre des Proverbes

(Pr 31, 10-13.19-20.30-31)

Une femme parfaite, qui la trouvera ?    
Elle est précieuse plus que les perles !
    Son mari peut lui faire confiance :
il ne manquera pas de ressources.
    Elle fait son bonheur, et non pas sa ruine,
tous les jours de sa vie.
    Elle sait choisir la laine et le lin,
et ses mains travaillent volontiers.
    Elle tend la main vers la quenouille,
ses doigts dirigent le fuseau.
    Ses doigts s’ouvrent en faveur du pauvre,
elle tend la main au malheureux.

    Le charme est trompeur et la beauté s’évanouit ;
seule, la femme qui craint le Seigneur mérite la louange.
    Célébrez-la pour les fruits de son travail :
et qu’aux portes de la ville, ses œuvres disent sa louange !

 

PSAUME

Ps 127 (128), 1-2, 3, 4-5)

R/ Heureux qui craint le Seigneur !

Heureux qui craint le Seigneur
et marche selon ses voies !
Tu te nourriras du travail de tes mains :
Heureux es-tu ! À toi, le bonheur !

Ta femme sera dans ta maison
comme une vigne généreuse,
et tes fils, autour de la table,
comme des plants d’olivier.

Voilà comment sera béni
l’homme qui craint le Seigneur.
De Sion, que le Seigneur te bénisse !
Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie.

DEUXIÈME LECTURE

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Thessaloniciens

(1 Th 5, 1-6)

Pour ce qui est des temps et des moments de la venue du Seigneur,
vous n’avez pas besoin, frères, que je vous en parle dans ma lettre.
    Vous savez très bien que le jour du Seigneur
vient comme un voleur dans la nuit.
    Quand les gens diront :
« Quelle paix ! quelle tranquillité ! »,
c’est alors que, tout à coup, la catastrophe s’abattra sur eux,
comme les douleurs sur la femme enceinte :
ils ne pourront pas y échapper.
    Mais vous, frères, comme vous n’êtes pas dans les ténèbres,
ce jour ne vous surprendra pas comme un voleur.
    En effet, vous êtes tous des fils de la lumière, des fils du jour ;
nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres.
    Alors, ne restons pas endormis comme les autres,
mais soyons vigilants et restons sobres.

   

ÉVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

(Mt 25, 14-30)

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole :
    « C’est comme un homme qui partait en voyage :
il appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
    À l’un il remit une somme de cinq talents,
à un autre deux talents,
au troisième un seul talent,
à chacun selon ses capacités.
Puis il partit.

Aussitôt,  celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres.
    De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres.
    Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.

    Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes.
    Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit :
‘Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.’
    Son maître lui déclara : ‘Très bien, serviteur bon et fidèle,
tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ;
entre dans la joie de ton seigneur.’
    Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit :
‘Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.’
    Son maître lui déclara :
‘Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.’

    Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi
et dit :
‘Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
    J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre.
Le voici. Tu as ce qui t’appartient.’
    Son maître lui répliqua :
‘Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu. Alors, il fallait placer mon argent à la banque ;
et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
    Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix.
    À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ;
mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a.
    Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !’ »